La générosité, encore et toujours.
21 Nov. / 2024
Beau paradoxe entre ce que l’ont croit être bon et ce que nous sommes disposés à faire pour l’encourager.
Le test Être Humain fournit ses premiers résultats. Ce court bilan permet de valider, ou non, 14 comportements qui s’avèrent positifs dans notre recherche de plus d’humanisme.
Ainsi, la générosité (faire des dons annuellement à la hauteur de mes capacités) s’avère, de loin, le comportement pour lequel les répondants avouent qu’ils pourraient faire mieux (53%).
Cette donnée rejoint celle publiée par l’Indice d’Humanité qui révélait que parmi les 14 dimensions évaluées, la générosité était celle ayant le plus d’impact et d’influence sur notre humanité.
Il s’agit ici d’un beau paradoxe. Nous reconnaissons l’impact de la générosité sur notre humanité, mais nous n’agissons pas conséquemment, admettant sans détour que nous pourrions faire mieux de ce côté. Ici, le calcul 1 + 1 = 2 semble assez évident.
Cette frilosité à donner davantage explique pourquoi 39% des répondants admettent qu’ils pourraient faire mieux en épousant une cause, si petite soit-elle. Ce comportement ou cet engagement arrive au 3e rang de ceux pour lequel on considère pouvoir s’améliorer.
Les comportements favorables à l’environnement (43%), la consommation de culture et produits locaux (39%) ainsi qu’une plus grande disponibilité pour aider (36%) figurent parmi les comportements pour lesquels les participants considèrent le plus pouvoir s’améliorer.
Pour tous les résultats, vous pouvez consulter ou télécharger le rapport ici.